L’idée remonte à loin. Déjà, dans les années 1990, une inspectrice belge travaillait avec son chien. Quelques années plus tard, elle présentait cette méthode lors d’une conférence de l’International Association of Human-Animal Interaction Organizations, forum mondial sur la médiation animale. A partir de 2003, aux Etats-Unis, la procureure Ellen O’Neill et la vétérinaire Celeste Walsen, de la Courthouse Dogs Foundation, ont travaillé à l’accompagnement des victimes mineures lors d’auditions. Les « support dogs », aujourd’hui environ 300 aux Etats-Unis et au Canada, sont présents dans 37 Etats américains, jusque dans les rangs du FBI, où ils apaisent les victimes après un crime de masse. En France, le programme a vu le jour dans le Lot grâce à la Fondat
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