Publié le : Dernière Mise à jour : 18.03.2019Par : N. G.Lecture : 2 min.
L’aide à domicile auprès des familles est un investissement gagnant pour les finances publiques. Telle est la démonstration qu’entendent porter Adessadomicile et la Fnaafp-CSF, auprès notamment du secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance.
QUELQUES CHIFFRES VALENT SOUVENT MIEUX QUE DE LONGS DISCOURS. « L’aide à domicile auprès des familles permet d’éviter 20 % des cas de maltraitance, dont certaines donnent lieu au placement des enfants. Or chaque maltraitance présente un coût socio-économique de 32 000 €. » S’appuyant sur les résultats de son étude menée en octobre dernier sur les gains socio-économiques de l’aide à domicile, Adessadomicile espère convaincre Adrien Taquet, secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, de la valeur ajoutée des techniciens de l’intervention sociale et familiale (TISF) en matière de prévention.Dans un communiqué en date du 29 janvier, la fédération appelle de ses vœux « un changement de culture de la protection de l’enfance, où les interventions à domicile seraient de vraies alternatives au placement de l’enfant ».La Fnaafp-CSF, qui a invité Adrien Taquet à assister à sa prochaine rencontre nationale, entend,…
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