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La contrainte, moindre mal ou moindre bien ?

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« Pratiques contraignantes en psychiatrie », une réunion organisée par le réseau Santé mentale le 20 février, était prétexte à remettre en question des méthodes qui se banalisent.
EXISTE-T-IL UNE CONTRAINTE ÉTHIQUE ? Les deux termes, qui sonnent comme un oxymore, paraissent ne pas pouvoir trouver un terrain d’entente dans les conditions actuelles d’exercice de la psychiatrie. « L’argumentaire autour de la contrainte est souvent assez fragile », assène Emmanuel Hirsch, directeur de l’espace éthique Ile-de-France, en préambule de la réunion « Pratiques contraignantes en psychiatrie », qui s’est déroulée le 20 février à l’initiative du réseau Santé mentale. « Certaines décisions ne sont pas prises au nom de l’intérêt supérieur du patient mais en tenant compte d’une réalité qui ne permet pas de trouver des solutions ajustées aux valeurs des professionnels. »Et si la contention vient spontanément à l’esprit du profane, d’autres formes de contrainte existent, de la médicamentation sans consentement jusqu’à l’enfermement. « On dit que l’introduction des psychotropes après-guerre a contribué à favoriser l’autonomie des patients, mais on ne nous demande…
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