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La lutte ne fait que commencer

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En France, en matière de combat contre la prostitution des mineurs, les choses commencent à évoluer, mais les pouvoirs publics doivent réfléchir à un plan d’action globale, mêlant la sensibilisation des enfants et la formation des professionnels.
SUR LA QUESTION DE LA PROSTITUTION DES MINEURS, « je note un frémissement, mais on voit bien qu’il y a encore beaucoup de progrès à faire ». D’une formule, Geneviève Avenard dresse un état des lieux implacable de la situation dans l’Hexagone. Tout en relevant « une prise de conscience de la réalité et de l’importance des phénomènes de prostitution des enfants », la défenseure des enfants témoigne d’un certain nombre de retards pris. « Pour exprimer mon impatience, je me réfère aux observations du comité des droits de l’enfant[1], explique-t-elle. Après avoir examiné, en 2007, l’application par la France du protocole facultatif portant sur la vente d’enfants et sur la prostitution infantile, il avait fait un certain nombre de recommandations pour améliorer l’action globale à conduire en faveur des victimes. En 2016, ce même comité des droits de l’enfant a regretté le fait de ne pas disposer d’informations…
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