Recevoir la newsletter

« Les dotations ne tiennent pas compte de la bientraitance »

Article réservé aux abonnés

A l’occasion de la remise officielle du rapport de la Commission pour la promotion de la bientraitance et de lutte contre la maltraitance, son président s’est exprimé sur plusieurs thématiques de la note.
Pourquoi ne dispose-t-on pas de chiffres précis sur la maltraitance dans les ESSMS alors même que les reportages à charge s’accumulent ?ll n’existe pas de nomenclature stabilisée permettant des recueils homogènes sur le territoire. A cela s’ajoute un problème d’expression : certaines personnes sont victimes sans en être conscientes, ou n’ont pas la capacité de se plaindre. D’autres redoutent une rétorsion. On est dans la racine du phénomène : pour s’exprimer, il doit rencontrer une écoute. La première maltraitance, c’est lorsque le vécu ne peut pas s’exprimer. Un établissement où les événements indésirables se disent n’est pas le plus maltraitant !Comment surmonter ce problème ?Il faut soutenir l’expression de la plainte, et garantir que les acteurs seront coordonnés et réactifs pour en tirer les conséquences. Beaucoup de personnes sont susceptibles d’être à l’écoute : les acteurs « traditionnels » – les professionnels, les autorités publiques –…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Focus interview

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur