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La vulnérabilité détournée

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La notion de « vulnerabilité », censée apporter des garanties supplémentaires à certains demandeurs d’asile, serait dans la pratique utilisée comme un critère de tri pour la cimade.
« Les textes européens, de la Commission européenne, comme du Conseil européen, font de la notion de vulnérabilité un levier pour améliorer les conditions d’accueil et les garanties de procédure pour certaines populations migrantes », explique Gérard Sadik, responsable de la thématique asile à la Cimade. On parle des personnes porteuses de handicap, des familles avec enfants, des victimes de la traite etc. La liste, assez large, se voulait non exhaustive pour pouvoir concerner un bon nombre de personnes et pour qu’elles aient des garanties. »Mais nombreuses sont les personnes vulnérables qui se trouvent en centre de rétention. On évoque souvent le cas des familles avec enfants en bas âge – qui ont valu à la France d’être condamnée 6 fois depuis 2012 par la Cour européenne des droits de l’homme –, mais selon les associations qui travaillent sur la rétention, des personnes handicapées, âgées ou atteintes de pathologies lourdes comme le VIH sont régulièrement enfermées…
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