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Entre procédure et humanisme

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En cinq ans, l’Ofpra a changé de visage. L’Office chargé d’examiner les demandes d’asile a doublé d’effectif, considérablement réduit ses délais d’instruction, tout en augmentant le nombre de protections octroyées. Et ce, avec l’ambition clairement affichée de mieux reconnaître les personnes qui ont des besoins de protection particulièrement délicats à apprécier. Si les associations sont unanimes quant aux efforts déployés, elles pointent cependant encore des dysfonctionnements.
DES ENTRETIENS « A CHARGE », DES QUESTIONS ENCORE EMPRUNTES DE STEREOTYPES ou basées sur « une vision normative » de ce que serait l’homosexualité : selon Aides et l’Ardhis, la demande d’asile au motif des persécutions liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre relève encore aujourd’hui du « parcours du combattant ». Dans leur rapport écrit conjointement et publié le 27 novembre, les deux associations qui militent notamment pour les droits des migrants LGBT, mettent en cause les officiers de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). « Ces constats persistants viennent souligner les limites globales d’une procédure forcément fondée…
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