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« Construire des relations de confiance entre ceux qui interrogent et les interrogés »

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Pour le sociologue, mieux protéger un requérant n’est possible que si les conditions d’une relation de confiance sont mises en place.
En fait-on assez pour repérer et protéger les personnes dites vulnérables ?On ne peut pas repérer physiquement une personne qui serait homosexuelle, et heureusement d’ailleurs. C’est le récit fait à l’Ofpra jusqu’à la CNDA et le dialogue avec les juges ensuite qui peuvent permettre de déceler la crédibilité lorsque le requérant dit qu’il est persécuté dans son pays en raison de son orientation sexuelle. Le plus difficile et en même temps le plus important, c’est de créer les conditions pour que tout ce qui touche au genre, à l’orientation sexuelle soit dicible même dans des instances très contraignantes. Il faut un grand travail de mise en confiance car si à l’Ofpra, une relation singulière avec l’officier de protection est possible, à la CNDA, les séances sont publiques. Ce qui rend la tâche plus compliquée parce que ce sont des choses qu’on ne dit pas facilement en public. C’est aussi vrai pour les viols qu’ont subis certaines femmes chez elles et/ou sur la route de l’exil.Un travail a-t-il été mène en ce sens ?Il…
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