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La danse jusqu’au bout de la nuit

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AVEC L’AFFICHE, LE TITRE, LES PREMIÈRES IMAGES, la référence au Bal, film de 1983 d’Ettore Scola qui raconte l’histoire des 80 premières années du XXe siècle à travers une salle de bal où des générations de danseurs se succèdent, s’impose. Mais Le grand bal – qui faisait partie de la sélection officielle du Festival de Cannes en 2017 – de la documentariste Laëtitia Carton ne se pique pas d’Histoire. Il se concentre sur les histoires de ces « vraies gens » qui se retrouvent pour un bal sans fin (27 jours non-stop, 24 heures sur 24) au fin fond de l’Auvergne. Dans cet improbable Woodstock des terroirs – un camping, village de toile au caractère rudimentaire digne des années 1960-1970, permet aux festivaliers de prendre quelque repos –, on bouge sur la mazurka, la valse, la polka et toute sortes de danses traditionnelles de France et d’ailleurs. Mais que viennent donc chercher ces drôles de festivaliers sur ce parquet des champs ? C’est justement ce que saisit la caméra sensible et pudique de la jeune et talentueuse cinéaste. S’exprimer à travers son corps, sortir de sa routine, échanger avec les autres et aussi – espoir caressé mais souvent déçu – faire une rencontre. Le grand bal, où…
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