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« Les départements ne sont pas des “ayatollahs” du CPOM »

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Selon le responsable de l’association de conseil pour les professionnels du secteur social et médico-social, les instances départementales n’ont pas la culture du contrat mais celle du dialogue budgétaire.
Certains acteurs du secteur dénoncent le fait que les CPOM soient devenus des CPO, avec des objectifs mais sans moyens. Partagez-vous ce point de vue ?Cette troisième génération de CPOM se présente sous des auspices moins positifs que les précédentes. Il faut faire mieux, différemment, plus, et ce à moyens constants.Un certain nombre d’ARS et plus encore de départements inaugurent les négociations en avertissant : « Il n’y a pas un sou ». Pourtant, dans le guide méthodologique d’appui à la contractualisation de l’Anap, il n’est jamais dit que le paradigme économique devait inaugurer la négociation, bien au contraire. C’est là un dévoiement de l’esprit du CPOM.Les méthodologies des ARS peuvent curieusement être hétérogènes à commencer par les outils de diagnostic, les méthodologies, les conditions et les délais de négociations.Du côté des départements, c’est la cacophonie absolue ! Les conseils départementaux ne sont pas des « ayatollahs »…
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