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« Un certain nombre de départements se rallient à ce modèle »

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Depuis 2015, le Groupe SOS a adopté le modèle du surloyer solidaire et l’a mis en place dans 68 % de ses Ehpad. Explications de Maryse Duval, directrice générale du groupe.
« L’accès à un Ehpad ne doit pas être conditionné par le niveau de revenu. Un égal accès à tous doit donc être garanti, en tenant compte des capacités contributives de chacun. » En mai dernier, le Groupe SOS a publié le plaidoyer « Relevons le défi du grand âge », dans lequel il défend l’idée de généraliser « aux EHPAD publics et à ceux volontaires du secteur associatif » le modèle du surloyer solidaire. Le principe ? « Quand les résidents sont éligibles à l’aide sociale à l’hébergement [ASH], ils sont financés par le conseil départemental. Sinon, ils s’acquittent d’un tarif en cohérence avec leurs capacités financières, grâce à un supplément compris entre 2 € et 9 € par jour. C’est la différence entre le tarif de base et celui acquitté qui constitue le surloyer solidaire », explique le groupe dans son plaidoyer. « Les innovations viennent du terrain, de groupes comme le nôtre, qui travaillent, réfléchissent à la manière d’équilibrer leur budget. Nous sommes des opérationnels,…
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