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Le grand bazar

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Des départements qui croulent sous le poids des dépenses sociales, un taux de non-recours élevé, des places habilitées occupées par des résidents ne pouvant en bénéficier, une réduction des marges de manœuvre financières des gestionnaires d’Ehpad : une réforme de l’aide sociale à l’hébergement devient urgente.
« Dans l’avenir, l’ASH [aide sociale à l’hébergement] a des raisons d’inquiéter les départements. Les Ehpad [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes] sont confrontés à une multitude de difficultés qui se traduisent par des coûts qui s’amplifient, sans réponse décisive de l’Etat. Au même moment, les retraites ne sont pas épargnées par la crise des finances publiques et le début d’austérité que l’on peut voir se dessiner. »Cette mise en garde de Jean-Louis Sanchez, délégué général de l’Observatoire national de l’action sociale (Odas), formulée à l’occasion d’un colloque organisé, le 10 septembre à Paris, par le think tank Matières grises, ne peut que renforcer la conviction du secteur de l’urgente nécessité de réformer l’aide sociale à l’hébergement.En 2017, le coût de l’ASH pour les conseils départementaux est estimé…
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