Pour une protection universelle et inconditionnelle de l’enfant
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Publié le : Dernière Mise à jour : 04.10.2018Par : Salvatore StellaLecture : 2 min.
Restriction des aides aux jeunes majeurs, sectorisation de la prise en charge des populations étrangères, enfermement des mineurs, augmentation des inégalités et besoins sociaux…, le président du Cnaemo dénonce le développement d’une politique de protection de l’enfant à plusieurs vitesses sur le territoire.
« “AVOIR UN NOM, UNE NATIONALITÉ, UNE IDENTITÉ, être soigné, protégé des maladies, avoir une alimentation suffisante et équilibrée, aller à l’école, être protégé de la violence et de la maltraitance et de toute forme d’abus ou d’exploitation, être protégé contre toute forme de discrimination, ne pas faire la guerre, ni la subir, avoir un refuge, être secouru, avoir des conditions de vie décentes, jouer et avoir des loisirs, avoir droit à la liberté d’information, d’expression et de participation, avoir une famille, être entouré et aimé…”, tels sont les droits proclamés par la Convention internationale des droits de l’Enfant (CIDE), adoptée à l’unanimité par l’Organisation des Nations unies en 1989 et ratifiée par 195 Etats membres, dont la France.Cette convention, contraignante pour les Etats signataires, se fonde sur quatre principes fondamentaux,…
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