Recevoir la newsletter

« Des conditions de travail assez exceptionnelles »

Article réservé aux abonnés

La directrice générale de Baluchon Alzheimer, Guylaine Martin, revient sur la création de la structure québécoise à l’origine du concept de « baluchonnage ».
Comment le baluchonnage est-il né et comment a-t-il évolué ?Il s’est mis en place de manière très progressive. Le service a été lancé en 1999 par Marie Gendron. Cette infirmière québécoise constatait l’absence de services à domicile qui puissent permettre aux proches de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer de souffler. Spontanément, elle a proposé en 1999 à une famille de la relayer pour qu’elle prenne des vacances. Et pendant près de dix ans, les interventions se sont multipliées de manière assez informelle. Ce n’est qu’en 2008 que Baluchon Alzheimer a eu le soutien du ministère de la Santé de l’époque.Vingt ans après, quel regard portez-vous sur son développement ?Le baluchonnage répond à une volonté de la population de rester chez soi le plus longtemps possible. Pour autant, on en est à ses prémices. Il existe en Belgique, on le développe dans les quatre provinces de l’ouest canadien comme on espère le faire en France. Mais il est encore peu répandu et limité au Québec, pour…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Décryptage

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur