Publié le : Dernière Mise à jour : 28.09.2018Par : Ph. R.Lecture : 1 min.
DES MAQUETTES PAS STABILISÉES, DES CONVENTIONS AVEC LES UNIVERSITES NON SIGNÉES, des agréments pas officialisés, des impacts financiers mal évalués… La mise en application précipitée de la réforme de la formation aux métiers sociaux sème une jolie pagaille dans les écoles et les centres de formation. Pas étonnant avec des décrets d’application parus fin août. Il faut plutôt s’interroger sur la raison de ce calendrier au pas de charge. Les objectifs de la réforme ne sont pas en cause – une meilleure formation, un niveau plus élevé, une dimension universitaire – mais c’est la méthode. On sait que les métiers du social et du médico-social peinent à recruter et présenter des formations de haut niveau est un signe d’attractivité.Mais fallait-il aller plus vite que la musique au risque de faire échouer la réforme ? Pour comprendre la situation dans les écoles et les centres de formation, les Actualités sociales hebdomadaires sont allées à la rencontre des enseignants, des directeurs et des formateurs qui ont préparé cette rentrée pas comme les autres. Il apparaît que la grande chance de réussite de la réforme repose sur leur motivation, leur capacité d’adaptation et leur patience. Tout n’est…
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