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« Nous ne sommes pas des vautours »

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En reprenant des structures menacées de faillite et en leur apportant une aide à la gestion, DocteGestio leur permet de poursuivre leur activité tout en maintenant leur personnalité. Telle est la ligne de défense du « boss » du groupe.
La reprise d’associations en difficulté par un groupe privé lucratif tel que DocteGestio est très critiquée par certains acteurs du secteur. Que répondez-vous à vos détracteurs ?Une partie des associations que nous avons reprises avait une problématique de gouvernance. Dans le champ associatif, la gouvernance n’est pas responsable pénalement ou financièrement. La meilleure façon de rendre cette gouvernance responsable, c’est qu’elle soit privée. Par ailleurs, lorsqu’un groupe privé est aux commandes de structures associatives ou mutualistes, cela ouvre des champs du possible plus importants dans un domaine où la tarification, la législation et la fiscalité sont aléatoires.Par exemple, une des raisons pour lesquelles nous avons sauvé beaucoup d’associations d’aide à domicile en difficulté, tient au fait que nous avons bénéficié de la fiscalité du privé lucratif. Ce qui est important, ce n’est pas le statut de l’opérateur…
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