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Une réforme avec peu de gagnants et beaucoup de perdants ?

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Avec une croissance revue à la baisse – de 2 % à 1,8 % –, les arbitrages budgétaires discutés cette semaine s’annoncent délicats pour le gouvernement qui s’était fixé pour 2019 un cap ambitieux de réduction des dépenses et du déficit public. Deux réformes évoquées cet été pourraient en faire les frais. Si le versement social unique, qui consiste en l’uniformisation des règles et de la date de versement des aides sociales, devrait être mis en place dès 2019 selon Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, l’allocation sociale unique (ASU) qui résulterait de la fusion des principaux minima sociaux(1) est repoussée à 2020 ou 2021.Les deux réformes répondent aux mêmes problématiques, celle de la simplification du système des minima sociaux jugé illisible et de la lutte contre le non-recours aux droits qui atteint en moyenne 30 % pour les potentiels bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et de la prime d’activité. L’idée, en filigrane, est aussi de dégager des économies tant en frais de gestion pour l’ASU – estimés à plusieurs milliards – qu’en termes d’erreur et de fraude. Ainsi, les montants devraient s’ajuster immédiatement aux variations de revenus au lieu d’être…
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