Vous avez créé l’Appas avec la volonté de faire avancer le combat de la défense de la liberté de disposer de son corps et de son intimité. Qu’est-ce qui a changé au cours de ces cinq dernières années ?
Marcel Nuss : En mars 2015, un arrêt du tribunal de grande instance de Strasbourg a été rendu en notre faveur. Ce référé nous a permis de lancer la première formation d’accompagnants sexuels, ce qui n’existait pas avant. Les choses évoluent depuis, car aujourd’hui plusieurs associations (CH(S)OSE et Corps Solid
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