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La double peine

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Une étude tend à démontrer qu’il est possible de réduire les troubles du comportement chez les personnes en situation de handicap intellectuel sévère.
« Les personnes ayant un handicap mental sévère présentent plus de risques de connaître des troubles du comportement ou psychiatriques comparativement à la population générale. » Telle est la conclusion d’une étude que vient de publier le réseau Lucioles, une association dont l’objectif est d’améliorer l’accompagnement des personnes ayant un handicap mental sévère.Le handicap mental sévère désigne des enfants ou des adultes ayant un handicap complexe s’accompagnant de restrictions majeures de l’autonomie : non-accès à la parole, déficience intellectuelle sévère et handicap moteur.Pour ces personnes, c’est en quelque sorte la double peine puisqu’il n’existe aucune réponse institutionnelle pour les prendre en charge et les amener, en particulier vers l’éducation. Ainsi, le cercle vicieux se met en place. Plus, elles sont isolées, plus elles s’enfoncent dans leur déficience et plus elles s’enfoncent dans ce handicap, moins il y a de réponses pour les ramener à une forme de stabilité.Une situation…
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