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Pour survivre heureux, survivons cachés

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Les occupants des bidonvilles ont des droits, ce que tout le monde ignore à commencer par les intéressés. Une note « Expulsions de terrain et de squat : sans titre mais pas sans droits », rédigée par la Fondation Abbé-Pierre, Romeurope et le Groupe d’information et de soutien des immigrés (GISTI), les détaille. L’une des contributeurs, Claudia Charles, chargée d’études au GISTI, revient sur les démarches à effectuer pour les faire valoir dans un contexte où beaucoup préfèrent souvent rester à la marge de la société, par crainte de l’expulsion.
Pourquoi avoir produit ce document, et à qui s’adresse-t-il ?En 2012 est parue une première édition, à une époque où les habitants des bidonvilles étaient pour la plupart des Roms, ou considérés comme tels par l’opinion publique. On les voyait beaucoup en région parisienne et un peu dans le sud de la France, à Aix-en-Provence ou Marseille par exemple.Les bidonvilles se sont beaucoup développés depuis et concernent plus de populations, parfois demandeuses d’asile. Nous avons fait un groupe de travail pour actualiser notre réflexion, sur les questions de droit comme sur les questions pratiques. Cette note…
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