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« Désacraliser la question du fait religieux »

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Les directions et managers des établissements sociaux et médico-sociaux sont confrontés à des problématiques religieuses émanant des usagers, mais également parfois des professionnels. Comment agir ? Le point avec Faiza Guélamine, sociologue et responsable de formation à l’Association nationale des cadres du social (Andesi).
Vous avez commencé à vous intéresser à la question de l’expression du fait religieux en travail social en 2006. Plus de dix ans après, quels sont vos constats ?Aujourd’hui, la situation n’est pas comparable à celle d’il y a dix ans. Le recours au religieux chez les personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux [ESSMS] et la visibilité du religieux dans le secteur ne sont pas en augmentation. Depuis les attentats de 2015, la lutte contre la radicalisation, la création d’un « Etat d’urgence », les travailleurs sociaux ont été amenés à devoir repérer chez les jeunes accueillis dans les structures ceux qui se référent à l’islam de façon préoccupante. A partir des attentats, on peut dire qu’il y a eu un télescopage entre cette problématique de la radicalisation et celle des faits religieux.…
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