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« Une question de volonté politique »

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Pour l’ancien secrétaire général du Mouvement du Nid et actuel référent des politiques publiques, cette loi a permis une réelle avancée pour les droits des prostituées. Encore partiellement appliquée, elle pâtit, selon lui, d’un manque de volonté politique.
Quel bilan dressez-vous de la loi au Mouvement du Nid ?Beaucoup d’acteurs disaient que la pénalisation du client était inapplicable, impossible à mettre en œuvre. Or plus de 2 000 clients ont été interpellés et l’écrasante majorité reconnaît les faits. Cette loi marche, elle montre qu’inverser la charge pénale est bien possible. Les clients écopent maintenant d’une amende, complétée ou remplacée par un stage de sensibilisation, mis en place dans trois départements pour l’instant. On a des retours positifs de la part des intervenants, qui parlent d’une prise de conscience et d’une remise en question chez de nombreux clients lors des stages de sensibilisation. Cette amende abroge neuf codes législatifs, c’est un processus qu’on ne fait qu’une fois par siècle. La nouvelle loi prévoit l’octroi d’un titre de séjour de six mois avec accès au marché du travail, renouvelable quatre fois, et, à l’issue…
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