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Michèle Rivasi : « Un lieu de rétention qui ne dit pas son nom »

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La députée européenne EELV s’est rendue à la frontière franco-italienne pour observer les conditions d’accueil des migrants le 31 mars. Avec deux autres élus, elle a constaté que les policiers français font tout ce qu’ils peuvent et même parfois ce qu’ils ne peuvent pas pour renvoyer des migrants en Italie.
Comment s’est déroulé le contrôle des migrants le jour de votre visite ?Nous nous sommes rendus à l’aube à la gare de Menton-Garavan où le train arrive de Vintimille, en Italie. Des CRS sont ensuite montés dans la rame afin de contrôler les identités des passagers. Un migrant est ensuite descendu avec eux et j’ai souhaité les suivre dans l’enceinte de la gare afin de voir comment les démarches administratives étaient faites. On m’a alors répondu que le « refus d’entrée » [document qui notifie l’interdiction d’entrée sur le territoire si la personne ne dispose pas des documents ou visas exigés] était rempli directement dans le van qui conduit les migrants au poste-frontière de Menton.Qu’avez-vous constaté une fois arrivée dans les locaux de la police aux frontières ?J’ai tout d’abord demandé à consulter la liste des migrants reçus la veille…
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