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Les satisfaits de la « Macron-économie »

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Le secteur de l’action sociale a connu au cours des dernières années des évolutions importantes. L’activité s’est accrue considérablement sous l’effet du vieillissement de la population, du développement de l’activité des femmes et des besoins d’accueil des jeunes enfants, ou encore de la prise en charge des personnes handicapées, malades ou socialement défavorisées. Une évolution qui a entraîné une modification de l’offre avec l’arrivée du secteur privé à but lucratif. Une venue pas forcément bien vue par le monde associatif mais justifiée par Amir Reza-Tofighi, président de la Fédération française des services à la personne et de proximité (Fedesap).« Dans le champ de l’action de solidarité, nous nous positionnons entre les entreprises et les associations. Notre ligne de conduite est de dire qu’il faut les mêmes règles pour tout le monde. Historiquement, les associations ont toujours eu des taux de tarification plus élevés que les entreprises et les départements avaient tendance à les favoriser. Aujourd’hui, le message politique est de dire que l’important demeure la qualité des services et le coût pour la collectivité. ».« Nous sommes dans un secteur où il y a de la concurrence…
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