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« Les liens d’attachement peuvent être pluriels »

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Professeure des universités en sciences de l’éducation, Catherine Sellenet établit une typologie des enfants placés, distinguant les « affiliés », les « ancrés », les « écartelés » et les « apatrides ». Derrière ce positionnement psychologique, se cachent la nature et l’intensité des liens entre ces enfants et leur famille d’accueil.
Dans votre livre Vivre en famille d’accueil, vous vous intéressez aux liens d’attachement des enfants placés en famille d’accueil. Pourquoi ?Dans mon précédent livre sur les familles recomposées, la question des liens affectifs avec des figures additionnelles se posait déjà. J’ai trouvé intéressant de poursuivre sur les attachements multiples, voire conflictuels ou impossibles, du côté des enfants placés en famille d’accueil. Le sujet est d’autant plus important pour moi que les services de la protection de l’enfance l’ont longtemps oublié, l’idée dominante étant que les familles d’accueil étaient salariées et qu’il ne fallait pas que les enfants placés s’attachent car cela pourrait provoquer un « conflit de loyauté » chez eux, c’est-à-dire la mise en rivalité des deux familles. Mon objectif a été de comprendre…
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