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L’Etat et les départements se renvoient le bébé

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L’Etat et les départements ne sont toujours pas d’accord sur le financement de la prise en charge des migrants mineurs non accompagnés (MNA). Chacun entend que l’autre supporte la plus grande part de l’effort. Une rencontre entre l’Assemblée des départements de France (ADF) et le Premier ministre, Edouard Philippe, n’a pas permis d’aboutir à un accord, mais le dialogue n’est pas rompu.
Dominique Bussereau, le président de l’ADF, estimait à la sortie de l’entretien avec le Premier ministre, le 12 mars, que le gouvernement et les départements étaient encore « loin des solutions définitives ». « Nous nous sommes donné conjointement un délai de quelques semaines », ajoutait-il. André Viola, président du groupe de gauche de l’ADF, affirmait que le chef de l’Etat « nous avait clairement dit, en juillet dernier, que la prise en charge des mineurs étrangers isolés devait relever de la responsabilité de l’Etat ». L’année dernière, les départements avaient obtenu un soutien financier de l’Etat : en plus des cinq premiers jours de la période de mise à l’abri et d’évaluation de minorité, l’Etat s’était engagé à financer 30 % du coût correspondant à la prise…
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