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« Le risque est l’ubérisation de nos métiers »

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Pour le directeur d’Ages et perspectives, le CICE est un véritable outil de développement pour les structures d’aide à domicile parce qu’il permet d’augmenter les marges, lesquelles sont investies dans la revalorisation des salaires – qui fidélise les personnels – et l’amélioration des prestations – qui professionnalise les métiers du domicile – et de répondre à une demande croissante. La disparition de ce crédit, prévue pour 2019, sans compensation casserait ce cercle vertueux.
Pouvez-vous nous parler de votre structure ?C’est une entreprise que j’ai créée en 2006, prestataire et spécialisée dans le champ de la dépendance [classée donc dans les SAAD]. Elle s’occupe de trois types de public : personnes âgées, en situation de handicap, ou malades. Nous avons aujourd’hui une dizaine d’agences, et nous employons 350 salariés.Pouvez-vous chiffrer le bénéfice du CICE pour votre entreprise ?Le CICE permet de dégager des marges de manœuvre plus importantes, soit d’ajouter environ 3 % à un résultat net de 2 % : on est sur du 5 % au total les bonnes années, avant impôts. On passe du simple au double.Comment avez-vous utilisé cette marge de manœuvre supplémentaire ?J’ai…
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