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Du volontariat à la contrainte

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Dans le cadre du plan de prévention de la « radicalisation islamiste » qu’il a présenté le 23 février dernier(1), Edouard Philippe a indiqué que le gouvernement compte « créer trois nouveaux centres de prise en charge individualisée pour des personnes radicalisées ou en voie de radicalisation, placées sous-main de justice ». Ils se situeront à Lille, Lyon et Marseille, et devront mettre en œuvre « une prise en charge individualisée éducative, psychologique et sociale efficiente, avec un référent cultuel ».Estimant que l’expérience du centre de réinsertion de Pontourny (Indre-et-Loire), fermé en 2017, qui fonctionnait sur la base du volontariat, a été un échec, le Premier ministre a fait savoir que ces trois nouvelles structures s’inspireront du dispositif Recherche et intervention sur les violences extrémistes (RIVE), où la participation s’effectue à la demande d’un juge. Lancé fin 2016 à Paris(2), il « semble prometteur », a-t-il déclaré. Selon nos informations, RIVE accompagne actuellement 13 personnes (8 hommes et 5 femmes), condamnées ou en attente de leur jugement – la plupart pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Leur nombre devrait croître…
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