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« Chaque fin de vie est particulière »

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La loi de 2016 sur la fin de vie a renforcé les droits des patients et interdit l’« obstination déraisonnable » des soins. Pour autant, le sujet est particulièrement sensible en France et déchaîne des passions, comme en témoigne la médiatisation de certaines affaires. Alors que les états généraux de la bioéthique battent leur plein, la spécialiste Valérie Depadt, qui a participé à la mission présidentielle de réflexion sur la fin de vie, estime que cette dernière doit avant tout relever du cas par cas.
De quand date le débat sur la fin de vie en France ?La loi de mars 2002 relative aux droits des malades commence déjà à l’évoquer. Après, la première loi qui aborde véritablement le sujet est la loi « Leonetti » du 22 avril 2005. Mais le débat sur la fin de vie a surtout été médiatisé par des affaires comme celle de Vincent Imbert, tétraplégique depuis 2003 et ayant demandé le droit de mourir, et celle des époux Pierra, dont le fils est décédé après huit ans et demi de coma végétatif. Celui-ci a été l’une des premières personnes pour lesquelles la loi « Leonetti », instituant un droit au « laisser mourir », a été appliquée. Puis cette loi, révisée…
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