Publié le : Dernière Mise à jour : 09.02.2018Par : Nadia GraradjiLecture : 3 min.
Parce que leur structure juridique et leur modèle économique les préparent mieux aux mutations, les acteurs privés de la prise en charge du vieillissement ont une longueur d’avance dans la marche vers la télémédecine.
Julien Jeanneau, responsable des études prospectives, groupe LNA Santé « Nous n’avons pas attendu de prendre le train en marche »« Dès 2013, LNA Santé – un groupe de 70 établissements de prise en charge de personnes âgées, handicapées – a pris des risques en misant fortement sur la télémédecine. Aujourd’hui, 31 projets médicaux axés sur la télémédecine sont portés par 23 de nos établissements (EHPAD [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes], SSR [soins de suite et de réadaptation], HAD [hospitalisation à domicile]) sur les 70 que compte le groupe. Nous avons été les premiers à y croire et nous n’avons pas attendu de prendre le train en marche. Les actualités récentes nous donnent raison. Toutes les parties prenantes sont unanimes, notamment l’assurance maladie : la télémédecine doit se développer en France. Le groupe LNA Santé développe principalement deux actes de télémédecine : la téléconsultation et la…
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