Recevoir la newsletter

La guerre est déclarée

Article réservé aux abonnés

Le nombre et la nature des crises – sanitaires, systémiques, épidémiologiques, climatiques et violentes – que les établissements sont appelés à affronter vont augmenter sous le double effet de l’aggravation de l’état physique et psychique des personnes qu’ils accueillent et de la baisse de l’acceptabilité des risques dans une société en quête de sécurité totale. La préparation à la gestion de crise doit devenir la priorité n° 1 des établissements. Explications.
Dans la nuit du 2 au 3 janvier dernier, une résidente de l’Ehpad public des Chanterelles à La Celle-sur-Belle, dans les Deux-Sèvres, a été tuée. Âgée de 85 ans, elle aurait succombé aux coups de canne infligés par son voisin de chambre, âgé lui-même de 91 ans.Une crise comme les établissements sociaux en vivent régulièrement – et en vivront de plus en plus souvent – si on en croit les experts.Aussitôt les faits connus, un plan de gestion de crise s’est mis en place. Le médecin coordonnateur a informé l’agence régionale de santé (ARS), une demande de mise en place d’une cellule médico-psychologique a été transmise à l’hôpital de Niort par l’établissement et les médias ont été informés…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Manager dans le social

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur