« Un jardin ne peut être thérapeutique que s’il est investi par les usagers »
RencontrePublié le : Dernière Mise à jour : 02.01.2018
Remplacer les parkings dans les maisons de retraite par des espaces verts, prendre soin des publics vulnérables et fragilisés en mettant des jardins à leur disposition… C’est ce que propose Jérôme Pellissier, docteur en psychologie, pour qui l’influence de la nature sur le bien-être et la santé n’est plus à démontrer.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant