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Séisme en vue

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Le harcèlement sexuel et moral existe aussi dans les ESMS, avec une ampleur ignorée, faute d’un intérêt du secteur pour ce sujet. La libération de la parole pourrait déclencher un tremblement de terre d’une intensité élevée sur l’échelle des risques sociaux, les établissements et les directeurs étant socialement impactés, statutairement impliqués et juridiquement responsabilisés par ces affaires.
En mars 2017, la cour administrative d’appel de la capitale a condamné le centre d’action sociale de la Ville de Paris (CASVP) à verser des indemnités à une infirmière qui avait porté plainte pour harcèlement moral pratiqué à son encontre par un aide-soignant de l’EHPAD dépendant de ce centre où ils exerçaient tous les deux. En 2009, un masseur-kinésithérapeute a été condamné à 18 mois de prison pour harcèlement sexuel sur un résident d’un EHPAD à Montpellier. En 2007, une résidente d’un établissement de Paris s’est plainte d’attouchements sexuels de la part d’un aide-soignant. En 2010, un auxiliaire de vie a agressé sexuellement une personne âgée vulnérable. En 2016, un médecin-coordonnateur de trois EHPAD de la région de Saint-Omer (Pas-de-Calais)…
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