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Des moyens toujours insuffisants pour la PJJ, selon deux fédérations

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« Les associations sont le parent pauvre du budget de la protection judiciaire de la jeunesse [PJJ] », déplorent la Convention nationale des associations de protection de l’enfant (CNAPE) et la Fédération nationale des services sociaux spécialisés (FN3S), dans une analyse commune rendue publique le 14 novembre(1). Les deux organisations estiment que le budget pour 2018 reste insuffisant. Elles notent une augmentation du montant alloué à la PJJ de 28,5 millions d’euros par rapport à l’an dernier (portant le total à 857,2 millions d’euros), mais dénoncent tout de même la « sous-dotation chronique et le fait que les besoins sont sous-estimés ». « Ce budget ne permet pas [de développer des] mesures nouvelles, de répondre aux besoins des magistrats, ni de renforcer les services [en] milieu ouvert de la PJJ pour la mise en œuvre d’accompagnements renforcés », ajoutent les fédérations.Une hausse, mais « pas de marge de manœuvre »La CNAPE et la FN3S regrettent également que la « politique ambitieuse à destination des établissements du secteur associatif habilité [SAH] ne trouve pas de traduction budgétaire dans le PLF [projet de loi de finances] 2018 ». Le montant alloué au SAH pour 2018 est…
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