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Saül Karsz : « Les questions sociales sont indissociablement des questions privées »

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Victimologie, vieillesse, suicide, folie, innovation, projet, objectivité et non-neutralité… Le philosophe et sociologue Saül Karsz a choisi huit thèmes pour démontrer que ce qui relève de l’individu est inséparable de ce qui relève du collectif. Une réflexion qui bat en brèche des présupposés de tous genres et questionne nos pratiques.
Affaires sociales, questions intimes est le titre de votre dernier livre. Mais qu’ont à voir entre elles ces deux notions ?J’aurais pu titrer « Affaires sociales et questions intimes », ce qui reviendrait à considérer qu’il y a deux sortes de questions. Ce n’est pas le cas. La virgule dans le titre marque une continuité et souligne, justement, qu’il n’y a pas de rupture. Les questions sociales sont collectives, institutionnelles, syndicales, politiques, mais également intimes car inséparables de ce qui arrive à une personne sur le plan individuel, privé, sexuel, subjectif… L’inverse est également vrai. Dans les modifications qu’ils entraînent, un divorce, un licenciement, par exemple, peuvent et doivent être vus sous les deux angles idéologique et subjectif. C’est un fait vieux comme le monde, que les chercheurs…
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