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Les associations redoutent que les mineurs isolés sortent du giron de la protection de l’enfance

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Les attentes de l’Assemblée des départements de France (ADF), qui souhaite que l’Etat assume la totalité des dépenses liées aux mineurs non accompagnés (MNA), et la perspective d’un plan d’action sur l’évaluation, la mise à l’abri et l’accompagnement des jeunes migrants(1) ont suscité les inquiétudes des associations. Alors que le Premier ministre doit, le 19 octobre, au congrès de l’ADF, faire des annonces sur le sujet, une vingtaine d’organisations lui ont adressé, le 5 octobre, une lettre. « La possibilité ouverte par le gouvernement d’“assumer” la prise en charge des MNA par le renforcement de son soutien financier pour la phase d’évaluation et de mise à l’abri représente une avancée certaine pour les finances des conseils départementaux, écrivent les signataires, parmi lesquels les Apprentis d’Auteuil, la Fédération des acteurs de la solidarité, la Cimade, France Terre d’asile ou encore l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux). En revanche, en l’absence de précisions et surtout d’une réaffirmation qu’un mineur non accompagné est avant tout un adolescent en danger, un transfert de compétences des départements…
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