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Réinventer les pratiques pour retisser le lien

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Avec la prévention de la « radicalisation djihadiste », les associations de travail social sont confrontées depuis peu à de nouveaux défis. Sollicitées par les préfectures, qui leur adressent des jeunes signalés par un entourage inquiet, elles élaborent des prises en charge pluridisciplinaires, avec les familles. Pour susciter l’adhésion et être efficaces, elles sont appelées à innover et à bousculer leurs pratiques.
« Comment l’offre de Daech [acronyme arabe de l’organisation Etat islamique] a-t-elle pu trouver une écoute parmi nos jeunes à tel point que certains, animés dès 14 ans par des pulsions de mort, se vivent comme des kamikazes ? Par quels mécanismes notre société produit-elle des gamins pour qui la coupure des liens est telle qu’ils ne se sentent plus de place ici ? », interroge Zohra Harrach Ndiaye, responsable du « dispositif de prévention et de traitement des basculements vers les extrémismes violents » à la Sauvegarde de Seine-Saint-Denis (précédemment ADSEA 93). Comprendre le sens des conduites de ces jeunes, décrypter leur demande pour pouvoir agir, c’est l’enjeu complexe auquel sont confrontées les associations de travail social…
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