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L’étranger, irremplaçable comme moi

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C’était en janvier dernier, dans la capitale européenne… Personnalités politiques, élus locaux, responsables associatifs et religieux, artistes et simples citoyens ont répondu à l’appel de l’association La Vie nouvelle pour dire leur refus de l’indifférence généralisée, pousser un cri d’indignation et de révolte contre le silence qui entoure le drame des migrants morts et abandonnés en Méditerranée. De ces textes, il reste une trace, ce livre, un cri cherchant à « couvrir les voix de ceux qui utilisent les mots de peur ou de haine pour rejeter l’autre », explique la présidente de la Cimade, avant de prendre l’Histoire à témoin : « Que retiendront les générations futures de la façon dont nos pays, nos sociétés se comportent aujourd’hui face à l’exode actuel ? », interroge Geneviève Jacques. Au cours de cette soirée de janvier, nombre d’intervenants, à l’instar de l’écrivain Jean-Claude Guillebaud, sont venus redire qu’ avant d’être syriens, libyens ou érythréens, ces femmes, ces enfants et ces hommes qui meurent en mer sont nos « frères en humanité ». Parmi les voix qui forment ce « cri de Strasbourg », il y a également celles qui font appel à la raison, en rappelant les bénéfices économiques…
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