Recevoir la newsletter

… mais refuse toujours la transcription automatique de l’acte de naissance étranger

Article réservé aux abonnés

Dans trois arrêts rendus le 5 juillet, la Cour de cassation confirme que, en cas de GPA réalisée à l’étranger, l’acte de naissance peut seulement être trancrit sur les registres de l’état civil français en ce qu’il désigne le père, mais pas en ce qu’il désigne la mère d’intention, qui n’a pas accouché. Se prononçant pour la première fois sur le parent d’intention, la Haute Juridiction fait ainsi évoluer sa jurisprudence en la matière.Les trois affaires étaient similaires et concernaient la transcription à l’état civil français de l’acte de naissance établi à l’étranger, dans lequel s’y trouvait désignée la mère d’intention, et non la femme ayant accouché de l’enfant.Dans l’une d’elles, la cour d’appel avait ordonné la transcription sur les registres de l’état civil des actes de naissance de deux enfants nés d’une GPA en Ukraine, mais seulement en ce qu’ils désignaient le père. Elle avait considéré que :→ concernant le père biologique, les faits qui étaient déclarés dans les actes de naissance correspondaient à la réalité. Par ailleurs, la convention de gestation pour autrui conclue ne faisait pas obstacle à la transcription desdits actes ;→ s’agissant de la mère d’intention, la réalité,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Veille juridique

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur