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« Les filles ne sont pas des mecs comme les autres »

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Qui sont les « mauvaises filles » d’aujourd’hui ? Quels chemins les ont menées à la délinquance ? Nous avons posé la question à Cindy Duhamel, psychologue clinicienne à la protection judiciaire de la jeunesse, coauteure d’une recherche sur la délinquance des mineures réalisée avec les sociologues Dominique Duprez, chercheur au CNRS, et Elise Lemercier, maîtresse de conférences à l’université de Rouen.
Les jeunes filles sont-elles très minoritaires parmi les mineurs auteurs d’infraction ?Oui, en tout cas dans les statistiques qui nous renseignent sur la délinquance enregistrée. Les adolescentes ne représentaient en 2013 que 17 % des mineurs condamnés. Elles sont encore moins nombreuses à être prises en charge par la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), dont elles ne constituent que 10 % des effectifs. Cela est notamment dû au fait que les filles sont généralement maintenues plus longtemps dans le système de protection de l’enfance que les garçons.Qu’est-ce qui caractérise les itinéraires que vous avez étudiés ?Quelque chose que l’on retrouve chez les jeunes de la PJJ en général, garçons ou filles : ces adolescentes ont eu des parcours…
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