« La coordination médico-sociale gagnerait à être davantage institutionnalisée »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 23.09.2017Par : É. V.Lecture : 2 min.
A Lyon, depuis 2010, les TISF de l’association ADIAF-Savarahm collaborent avec des réseaux de périnatalité. Analyse avec Aurore Lirola, coordinatrice de l’association.
Quel type de partenariat avez-vous mis en place ?Nous avons différents partenariats : avec la PMI du Rhône et avec l’ensemble des institutions – maternités, centres d’accueil en périnatalité, CMP [centres médico-psychologiques], unités mère-bébé, service de pédopsychiatrie – qui accompagnent la relation mère-bébé. A chaque demande d’intervention, nous sollicitons une rencontre partenariale, appelée « synthèse », avec les professionnels intervenant auprès de la famille. Elle peut se tenir dans l’unité mère-bébé, à la PMI ou à la maternité. Ensuite, nous échangeons régulièrement sur l’évolution de la situation. Ces rencontres multidisciplinaires servent à échanger sur nos différentes approches et à mieux nous comprendre.Qu’apporte une articulation médico-sociale en périnatalité ?Confronter les regards, c’est offrir une chance pour le professionnel de santé de mieux saisir l’environnement social et matériel dans lequel évolue la famille et, si besoin, de réajuster le processus de…
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