Publié le : Dernière Mise à jour : 22.09.2017Par : Rozenn Le SaintLecture : 3 min.
Manque de temps ou de compétences en interne pour apporter une expertise sur l’évaluation de la qualité et la gestion des risques psychosociaux, ou pour former les cadres intermédiaires… Bien souvent, faire appel à des spécialistes externes à l’établissement est devenu nécessaire. Mais cela ne doit pas être systématique.
Une posture de neutralitéLe recours à un consultant est lié à la recherche d’éclairage, de grilles de lecture devant permettre une aide à la clarification et aux choix des décisions à venir. Par nature, le consultant se situe à l’interface du dedans et du dehors : la notion d’« extériorité » joue un rôle déterminant dans la qualité de sa prestation. Les directeurs d’ESMS attendent de ce médiateur qu’il conserve une posture de neutralité, de façon à se tenir à distance des situations et des discours institutionnels. Le premier motif pour lequel ils ont recours à des consultants est le développement des compétences… et notamment l’accompagnement des cadres intermédiaires. « Leur fonction monte en puissance. Ils représentent des relais importants entre les familles et les équipes », assure Françoise Laboirie-Ladner, directrice…
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