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« La résilience peut être un processus fluctuant dans le temps »

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Les femmes qui ont subi des maltraitances dans leur enfance ont un processus de résilience fluctuant dans le temps. Tel est le constat dressé par la thèse de Manuela Braud, qui achève son doctorat au Centre de recherche en éducation de Nantes (CREN) à l’université de cette ville de Loire-Atlantique. Cette ancienne technicienne en économie sociale et familiale (TESF), devenue psychologue, s’est appuyée sur les récits de vie de ces femmes aux parcours aussi douloureux qu’exemplaires.
Pourquoi vous êtes-vous intéressée à la résilience des femmes victimes de maltraitance durant leur enfance ?Boris Cyrulnik définit la résilience comme un processus « psychoaffectif, social et culturel qui permet un nouveau développement après un traumatisme psychique ». Cette force s’appuie sur le souvenir de l’attachement « sécure » [de confiance] que la personne a développé avec sa mère durant son enfance. Or, j’ai choisi de m’intéresser à des femmes qui n’ont pas eu la chance d’en bénéficier, à cause d’un abandon, d’une négligence affective ou de maltraitances. Comme souvent chez les chercheurs, ce sujet ne m’est pas étranger. Je n’ai pas réalisé ce travail pour…
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