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Bracelet électronique : surveiller ou accompagner ?

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La gestion des incidents dans le cadre d’une mesure de placement sous surveillance électronique ne relève pas d’une logique de négociation, mais d’une mise en conformité avec une procédure mécanique. D’où le danger pour les services pénitentiaires d’insertion et de probation d’être peu à peu dépossédés de leur savoir-faire, alerte Tony Ferri, conseiller d’insertion et de probation, philosophe et chercheur(1).
« Lorsqu’un condamné demande à bénéficier de la mesure de placement sous surveillance électronique (PSE), le juge de l’application des peines (JAP) rend sa décision après avoir examiné son projet et les propositions présentées par le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP). Il rend alors un jugement dans lequel sont exposées les obligations de la personne et ses périodes d’assignation à domicile sous contrôle. Ce jugement sert de support au SPIP pour mettre en œuvre la mesure et assurer son suivi.On peut toutefois s’interroger sur la façon dont l’institution judiciaire règle les incidents. Ce traitement repose sur le partage des tâches entre surveillants et SPIP. Les surveillants affectés…
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