Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 1 min.
(Union nationale des familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques) s’est félicitée qu’il existe « enfin une réglementation précise sur l’isolement et la contention en psychiatrie », après la publication des recommandations de bonnes pratiques de la Haute Autorité de santé (HAS) visant à limiter le recours à ces pratiques (voir ce numéro, page 11). Pour l’Unafam, qui a participé à la réflexion engagée avec la HAS et la direction générale de l’offre de soins, « ces mesures doivent être très exceptionnelles » et évoluer au fil de la situation des patients, qui doit être « réévaluée rapidement et régulièrement ». Même son de cloche du côté de la Fnapsy (Fédération nationale des associations d’usagers en psychiatrie), qui juge « très important que les professionnels puissent entendre les besoins des usagers, et s’approprier les recommandations [de la] HAS, en tenant compte des spécificités du terrain ». Plus critique, le Collectif des 39 contre la nuit sécuritaire, qui avait lancé un appel contre les pratiques de contention (voir ASH n° 2926 du 25-09-15, p. 17), estime que de ces recommandations « peut naître le pire » et met en garde contre « la banalisation instituée…
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