Habitat inclusif : la DGCS cherche à favoriser son développement
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Publié le : Dernière Mise à jour : 14.02.2018Par : M. E.Lecture : 4 min.
Entre le logement privé et l’établissement, l’habitat dit « alternatif » ou « inclusif » tend à se développer, répondant à une aspiration de plus en plus marquée des personnes âgées, handicapées et/ou atteintes de maladies neurodégénératives : choisir leur lieu de vie et, éventuellement, les personnes avec lesquelles le partager. Dans une enquête consacrée à ces nouvelles formes d’habitat, qu’elle a dévoilée le 14 mars(1), la direction générale de la cohésion sociale (DGCS) constate que ces personnes « expriment une forte demande de projet social et de services associés au logement dans un environnement adapté et sécurisé qui garantisse conjointement inclusion sociale et vie autonome en milieu “ordinaire”. Ces formes d’habitat, plus souples, et aussi parfois plus économiques pour des personnes aux revenus modestes, apportent une réponse complémentaire au logement ordinaire et à l’hébergement en institution. »De précédents travaux menés par la DGCS, mais également par des acteurs tels que la Caisse nationale d’assurance vieillesse, l’Union sociale pour l’habitat…, ont contribué à faire avancer la connaissance de cette offre alternative puis, avec la loi relative à l’adaptation de la…
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