Recevoir la newsletter

« De la protection de l’enfance à la protection de l’enfant »

Article réservé aux abonnés

A l’occasion des dix ans de la loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance, Flore Capelier, docteure en droit public et membre associée au CERSA de l’université Panthéon-Assas(1), revient sur les acquis de cette dernière et sur les apports de la loi du 14 mars 2016 relative à la protection de l’enfant, en pointant les tensions entre les logiques juridiques, institutionnelles et éducatives.
L’évaluation et le principe de subsidiarité ont été repensés par la loi de 2016…Alors que la loi du 5 mars 2007 a créé une cellule départementale de recueil des informations préoccupantes, celle du 14 mars 2016 va plus loin en donnant un cadre juridique à l’évaluation des situations individuelles. La loi et ses décrets d’application réglementent le contenu et les modalités de mise en œuvre de cette évaluation (enfant au centre de la démarche, délais fixes, formation des professionnels…). Par ailleurs, pour répondre aux critiques adressées à la loi de 2007, qui aurait pour effet de retarder l’intervention du juge des enfants, la loi de 2016 autorise la saisine de la justice par le président du conseil départemental…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur