Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Par : F. R.Lecture : 3 min.
Une équipe de recherche de l’université de Nantes a étudié l’impact du placement extérieur sur les personnes suivies par quinze associations du réseau Citoyens et justice.
« Valoriser la mesure de placement extérieur, rassurer les magistrats sur sa pertinence, lever les obstacles qui la freinent, faire œuvre de pédagogie… » Stéphanie Lassalle, conseillère technique « post-sententiel » de Citoyens et justice, résume ainsi les objectifs de l’évaluation menée en collaboration avec une équipe de l’université de Nantes, sous la houlette de Reynald Brizais, enseignant-chercheur en psychologie sociale.C’est en 2009 que la fédération a décidé de lancer une recherche-action avec les associations Espérer 95 à Pontoise (Val-d’Oise) et Aprés (devenue Aprémis) à Amiens. « L’idée de travailler sur des indicateurs d’évaluation, autrement dit de modéliser un rapport d’activité sur la base d’indicateurs partagés », a émergé ensuite, explique François Catel, directeur d’Horizon, à Meaux (Seine-et-Marne). Après la publication d’un premier rapport, quatre associations ont rejoint la démarche : Emergence-s Brest et Rouen, Le Mars à Reims et Horizon. Les indicateurs…
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