Recevoir la newsletter

L’ADC s’inquiète des conséquences de l’obligation de signalement des ESMS

Article réservé aux abonnés

L’Association de directeurs, cadres de direction du secteur social, médico-social et sanitaire (ADC) a diffusé, le 10 février, sa position, validée lors de son dernier conseil d’administration, sur la conséquence de l’application du décret du 21 décembre dernier relatif à l’obligation de signalement des structures sociales et médico-sociales(1) et de l’arrêté du 28 décembre précisant la liste des dysfonctionnements à signaler(2). Un document qui n’a visiblement pas répondu aux interrogations des adhérents de l’ADC « sur le contenu des informations à transmettre et, en particulier, sur la nature des faits de dysfonctionnements ». En effet, certains de ceux mentionnés dans l’arrêté (« disparition inquiétante », « comportement violent de la part des usagers envers d’autres usagers ou du personnel, au sein de la structure », « actes de malveillance ») « peuvent être des événements récurrents dans nos établissements et services du secteur social, médico-social et sanitaire et quelquefois inhérents à la problématique, par leurs troubles de comportement, des personnes accompagnées », relève l’ADC. Qui craint que ses adhérents, s’ils se conforment à ce texte réglementaire, n’aient à envoyer…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur