L’ADC s’inquiète des conséquences de l’obligation de signalement des ESMS
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Publié le : Dernière Mise à jour : 30.08.2017Par : E. C.Lecture : 1 min.
L’Association de directeurs, cadres de direction du secteur social, médico-social et sanitaire (ADC) a diffusé, le 10 février, sa position, validée lors de son dernier conseil d’administration, sur la conséquence de l’application du décret du 21 décembre dernier relatif à l’obligation de signalement des structures sociales et médico-sociales(1) et de l’arrêté du 28 décembre précisant la liste des dysfonctionnements à signaler(2). Un document qui n’a visiblement pas répondu aux interrogations des adhérents de l’ADC « sur le contenu des informations à transmettre et, en particulier, sur la nature des faits de dysfonctionnements ». En effet, certains de ceux mentionnés dans l’arrêté (« disparition inquiétante », « comportement violent de la part des usagers envers d’autres usagers ou du personnel, au sein de la structure », « actes de malveillance ») « peuvent être des événements récurrents dans nos établissements et services du secteur social, médico-social et sanitaire et quelquefois inhérents à la problématique, par leurs troubles de comportement, des personnes accompagnées », relève l’ADC. Qui craint que ses adhérents, s’ils se conforment à ce texte réglementaire, n’aient à envoyer…
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