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« L’immunité des travailleurs sociaux lanceurs d’alerte reste à créer »

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Alors qu’une éducatrice a été récemment mise à pied, dans l’attente d’une décision sur son licenciement, après avoir dénoncé les conditions d’accueil des mineurs isolés dans une structure gérée par l’association dont elle est salariée, Secretpro.fr(1) plaide pour le droit des professionnels à dénoncer les dysfonctionnements des institutions sur la place publique. Explications de Laurent Puech, fondateur de ce site ressources et formateur.
Selon vous, le rôle d’alerte du travailleur social, lié à son éthique, doit lui être reconnu…La question de l’éthique déborde le cadre réglementaire ou légal dans les situations hors normes où les voies classiques d’expression prévues ne permettent pas d’obtenir une réponse rapide au regard des besoins. Or les textes actuels ne permettent pas de protéger un professionnel qui alerte des dysfonctionnements entraînant une maltraitance institutionnelle. Depuis 2002, les salariés des établissements relevant de l’article L. 312-1 du code de l’action sociale et des familles qui sont témoins d’une maltraitance sur un usager sont protégés s’ils témoignent de ce qu’ils ont constaté,…
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